Tuesday, November 2, 2021

Patrick Artus La folie des banques centrales : Pourquoi la prochaine crise sera pire (Documents) livre pdf

La folie des banques centrales : Pourquoi la prochaine crise sera pire (Documents)

de Patrick Artus
Couverture du livre de La folie des banques centrales : Pourquoi la prochaine crise sera pire (Documents)

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Broché : 101 pages
Auteur : Patrick Artus
Editeur : Fayard
Vendu par Fayard
Collection : Livres
ISBN-10 :
Format : Ebook Kindle
Date de Publication : 2016-01-13
Moyenne des commentaires client : 4.2 étoiles sur 5 757 commentaires client
Nom de fichier : la-folie-des-banques-centrales-pourquoi-la-prochaine-crise-sera-pire-documents.pdf (Vitesse du serveur 27.7 Mbps)
La taille du fichier : 23.11 MB

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Vous trouverez ci-dessous les commentaires du lecteur après avoir lu La folie des banques centrales : Pourquoi la prochaine crise sera pire (Documents). Vous pouvez considérer pour votre référence.
15 internautes sur 16 ont trouvé ce commentaire utile.Un essai alarmant sur les excès de l’interventionnisme des banques centrales et leurs effetsPar Johan RivallandAprès des années d’engouement renouvelé de beaucoup pour les politiques monétaires ultra-expansionnistes, devenues une véritable drogue pour certains acteurs de marché, les cris d’alarme se font de plus en plus entendre, à l’instar de celui que poussent ici Patrick Artus et Marie-Paule Virard.Les deux auteurs s’intéressent au rôle des banques centrales qui, depuis le début des années 2000 et surtout depuis 2008, « jouent les pousse-au-crime » à travers leurs politiques monétaires expansionnistes, qu’ils qualifient autrement de « laxistes ».Si Patrick Artus et Marie-Paule Virard approuvent l’intervention massive de 2009 visant à « éviter un désastre encore plus grave que celui de 1929 », ils pensent que cela ne se justifie plus depuis 2010. Dans un contexte de surendettement mondial, cela s’avère même, selon eux, parfaitement dangereux. Toute la sphère financière se trouve ainsi faussée dans ses jugements par la « montagne de cash » engendrée par des « augmentations de dose » de plus en plus fréquentes et importantes, plongeant les acteurs « dans un monde où l’on confond volontiers création monétaire et création de richesse ». Et le tout avec la complicité des politiques, et même du FMI, qui encouragent cette politique.« Avec à la clé le spectre d’une nouvelle crise financière », les primes de risque sur les entreprises publiques, les banques et les pays surendettés ayant malencontreusement disparu. Ainsi, sept ans après Lehman Brothers et la crise des subprimes, on renoue avec les mêmes maux : des achats massifs d’actifs financiers risqués, qui conduisent droit vers une nouvelle crise, dont l’ampleur sera bien pire et dévastatrice.A travers la confiance aveugle accordée aux banquiers centraux, nous disent les auteurs, « on compte sur eux pour relancer la croissance, combattre la déflation, aider à résoudre l’endettement des Etats, conjurer l’éclatement de l’euro, faire repartir l’investissement, et bien d’autres choses encore… », comme si les problèmes liés à l’économie réelle n’étaient pas là et bien profonds. Pire, « la monnaie déserte l’économie réelle insuffisamment rentable pour offrir du rendement à court terme ».C’est aussi toute la mécanique de fixation des prix des actifs qui s’en trouve perturbée et entièrement faussée.Mais les auteurs se veulent toutefois résolument optimistes, considérant qu’il n’est « pas trop tard » pour stopper le « mécanisme à retardement » de cette politique, espérant par leur ouvrage faire entendre raison à ceux qui étudieront leurs analyses, même s’ils croient peu à une inflexion de nos banquiers centraux.Dans un premier chapitre, très clair et très pédagogique, les mécanismes de la création monétaire nous sont très bien expliqués, en mettant l’accent en particulier sur les ressorts de la politique dite non conventionnelle.Les origines du Quantitative Easing (Q.E) sont retracées et les réelles intentions des banquiers centraux tirées au clair. La mécanique est parfaitement décrite, implacable.Mais les dangers, contradictions et risques sont ensuite mis en lumière dans les chapitres suivants, faisant apparaître les dérives qui risquent bien de se transformer en chaos si on continue de jouer avec la monnaie.Si l’on peut adhérer globalement, dans une assez large mesure, au cri d’alarme lancé par les deux auteurs au sujet de la folle politique menée par les banquiers centraux à travers leur Quantitative Easing, on n’est pas forcément obligé d’être en accord avec eux quant aux solutions proposées.Ainsi, ils remettent en cause l’objectif statutaire de priorité à la lutte contre l’inflation, dans une économie qu’ils considèrent désormais sans inflation, tout au moins tant qu’il n’y a pas de chocs majeurs. Ils se montrent également favorables, conformément à la théorie keynésienne, aux politiques monétaires en réponse aux crises (mais en aucun cas dans un but de régulation à long terme).Ils préconisent surtout la fin des règles « gravées dans le marbre » et davantage de souplesse pour tenir compte des réelles contraintes du moment.Il s’agit d’une véritable remise en cause de la conception monétariste de la monnaie, accusée de favoriser l’instabilité financière et la spéculation sur les marchés, au moment où les taux d’endettement ont atteint des sommets.Les deux auteurs proposent l’élargissement des instruments macroprudentiels à disposition des banquiers centraux, au-delà du seul taux d’intérêt, de manière à mieux cibler les actions en fonction des problèmes spécifiques qui se posent dans tel ou tel pays et mieux réguler les marchés.Ils préconisent d’en revenir au mandat initial des banques centrales avant les chocs pétroliers, et surtout depuis la seconde moitié des années 1990, à savoir la création et la gestion d’une quantité raisonnable de liquidités, à des fins de disposer des quantités nécessaires au regard des échanges et de jouer le rôle de prêteur en dernier ressort. Ce qui suppose aussi une bonne coopération monétaire internationale.Patrick Artus et Marie-Paule Virard s’interrogent aussi fortement sur le pouvoir exorbitant des banquiers centraux. Sans remettre en cause les raisons fondamentales qui ont conduit à souhaiter cette indépendance, ils ne s’inquiètent pas moins du manque de contrepouvoirs existants, et ce d’autant plus que nos auteurs jugent dépassé le modèle mis en place dans les années 1980.Ils s’interrogent, en outre, sur le pouvoir exorbitant laissé à quelques hommes sans réel contre-pouvoirs, qui ont commis « toutes sortes de bêtises pour toutes sortes de raisons », dont ils apportent quelques exemples.En conclusion, Patrick Artus et Marie-Paule Virard mettent en garde contre l’arrivée de la prochaine crise, qui devrait être, ainsi qu’ils l’indiquent dans le titre de l’ouvrage, bien pire que les précédentes (les crises financières devenant d’ores et déjà de plus en plus fréquentes et violentes), en raison de la folle abondance de liquidités mondiales, qui représentent des niveaux jamais atteints.A moins de procéder aux réformes institutionnelles évoquées plus haut et à une meilleure coordination des politiques monétaires (via le FMI), ainsi qu’à l’usage plus ponctuel et non prolongé des politiques monétaires, tout en renonçant tout simplement à les utiliser dès lors que ce sont plutôt de réformes structurelles (comme actuellement) dont auraient en réalité besoin les économies. Et… se fixer un objectif de progression de la base monétaire conforme à celui du PIB mondial en valeur (assez proche, somme toute, de ce que proposait un Milton Friedman auquel il se présentent pourtant comme profondément opposés).Un ouvrage intéressant et stimulant, quoi qu'on en pense, et malgré beaucoup de répétitions inutiles qui encombrent un peu l'ouvrage (sans doute l'écriture à deux mains ?).

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